Sur le chemin du Caire, le Samuel L. Jackson khmer du bus a le regard fou. Je lui assène 'Libra Man' comme on décocherait la clé secrète du Cac40, il ne rétorque rien, il ne dit jamais plus d'un mot par jour. Celui de ce mercredi 18 avril est tombé à 8h47 53 secondes, c'était 'banderole'.
Je ne vais pas toujours seul au fond de moi-même Et j'entraîne avec moi plus d'un être vivant. Ceux qui seront entrés dans mes froides cavernes Sont-ils sûrs d'en sortir même pour un moment ? J'entasse dans ma nuit, comme un vaisseau qui sombre, Pèle-mêle, les passagers et les marins, Et j'éteins la lumière aux yeux, dans les cabines, Je me fais des amis des grandes profondeurs. Jules Supervielle, Les Amis inconnus, 1934
dimanche 29 avril 2012
K H M E R
Bigre de bigre, m'amuser à jouer les chats ou les tigres.
Sur le chemin du Caire, le Samuel L. Jackson khmer du bus a le regard fou. Je lui assène 'Libra Man' comme on décocherait la clé secrète du Cac40, il ne rétorque rien, il ne dit jamais plus d'un mot par jour. Celui de ce mercredi 18 avril est tombé à 8h47 53 secondes, c'était 'banderole'.
Sur le chemin du Caire, le Samuel L. Jackson khmer du bus a le regard fou. Je lui assène 'Libra Man' comme on décocherait la clé secrète du Cac40, il ne rétorque rien, il ne dit jamais plus d'un mot par jour. Celui de ce mercredi 18 avril est tombé à 8h47 53 secondes, c'était 'banderole'.
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